Les images d’archives familiales sont diffusées sur le dos du musicien qui devient lui même image projetée. C’est un jeu de construction entre différentes strates de lectures, comme une errance dans la tentative vaine de reconstruction du passé.

Big Shit [...] est une procession solitaire et inexorable, sous le soleil chauffé à blanc d’un désert sans repère, où des brises d’harmonica fendent l’air épais, où du sol surgissent des bris de hurlements.
Hugo Roussel, RPT : plus jeune que jamais, Revue&corrigée, n°12, septembre 2019
captation lors du festival Chaud! les marrons, MJC Lillbonne, Nancy - 24 janvier 2020
extraits de recherches | Résidence janvier 2020 - CCAM, Vandœuvre

photographie du fond : Funkographer © tous droits réservés 
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